Un service numérique réussi doit être utile, clair d'utilisation, accessible à tous -y compris les usagers en situation de handicap- et aussi être conçu selon les meilleures pratiques, par exemple en matière d'hébergement ou d'éco-responsabilité. C'est passionnant de voir que notre travail a un impact concret sur les services numériques de l'Etat, et donc au final sur tous leurs usagers.

À la suite de la publication de la stratégie numérique au service de l’efficacité de l’action publique, il a été demandé à tous les ministères de la décliner à leur contexte. L’objectif était que chaque ministre fixe son ambition numérique pour augmenter l’impact de ses politiques publiques et priorise les transformations nécessaires dans la manière de produire des services numériques. Nous avons accompagné les ministères volontaires dans l’élaboration de leurs feuilles de route numérique et données publiques. Cet exercice a permis d’associer tout l’écosystème interne à la transformation numérique, de prioriser l’action en fonction des enjeux politiques et d’identifier les référentiels de données à ouvrir pour améliorer l’action publique.

Travailler à la DINUM, c’est côtoyer des personnes expertes du numérique au service de toute l’administration publique. Nous travaillons avec nos partenaires publics (incubateurs, ministères, opérateurs) pour créer des services publics moins cloisonnés, plus simples et qui s'adaptent plus facilement aux besoins des gens. Qu’il s’agisse de réduire les délais de traitements pour les mal logés, de supprimer les pièces justificatives inutiles, ou de construire des nouveaux services pour nous adapter au changement climatique, il y a une vraie attention au sein de la DINUM à la manière dont nos actions et nos services améliorent vraiment la vie des gens, que ce soient des agents publics, des citoyens ou des entreprises.